
L’opinion publique des sociétés américaines et européennes concernant la chasse au phoque, bien qu’influencée par la propagande des groupes activistes depuis des décennies, semble s’assouplir grâce aux effets connus et médiatisés des surpopulations actuelles de phoques et à la compréhension de l’utilisation intelligente et humaine de cette ressource renouvelable.
Le contexte démographique planétaire actuel voulant que les ressources disponibles par habitant diminuent et les coûts monétaires et environnementaux de la production de toute viande d’élevage continuant d’augmenter de façon exponentielle ouvrent ainsi la voix à la viande de loup-marin et justifie encore plus l’utilisation complète de cette ressource locale.
Pour encourager les chasseurs à risquer leur temps, leur argent et des efforts coûteux sur la mer il faut combiner l’utilisation des trois sous-produits pour un même animal (soit la viande, la fourrure et l’huile).
Pour la viande, SeaDNA utilise :
- Le muscle dorsal de l’animal qui est vendu sous forme de filet complet, en portion ou en viande fumée.
- Les meniches, pour faire du loup-marin braisé, du jerky et diverses charcuteries.
- Le flanc du loup-marin en côtes levées et pour diverses charcuteries.
- Les retailles provenant de la meniche et du filet pour la fabrication de charcuteries.